Mathieu (Groupe 4)
Stage à Gamm Vert du Lundi 12 avril au Vendredi 16 avril 2010
J'ai commencé ce stage après une expérience de deux semaines. Mes objectifs étaient donc d'approfondir mes capacités, mes aptitudes et mes connaissances dans ce métier, d'aller voir les clients afin de les aider ou des les orienter, et ils consistaient aussi à développer ma connaissance des végétaux et de leur entretien. Un des objectifs était de définir si j'étais plus intéressé par la vente ou par les végétaux.
Pendant ce stage, j'ai réalisé des tâches que, pour la plupart, que j'avais déjà faites lors du premier, au mois de Mars. J'ai fait de la mise en rayon, du pointage de bons de livraison, de l'étiquetage de produits, de l'entretien & arrosage des végétaux, de l'orientation des clients (vu que j'avais mis en rayon je savais où trouver les articles demandés). J'y ai appris des noms des sortes de végétaux (tomates, salades...)
C'est un stage positif, plus approfondi que le précédent et plus tourné vers la partie végétale et son entretien. La partie vente et la relation avec les clients restent ce qui m'a le plus plu.
Visite de Tenneco
Tenneco est une entreprise qui produit des silencieux d'échappement pour toutes les marques automobiles, mais principalement pour PSA. Ils ne font pas de pièces pour les chaînes de montage mais seulement pour la rechange de pièces. Ils font des anciens modèles (peugeot 306), en 2009 ils continuaient de créer des silencieux pour la Citroën Traction. L'effectif est de 350 personnes, dont 200 en production (25 femmes). Dans le service client, pour les commandes ou autres livraisons, il y a 9 personnes (7 femmes). A part la fabrication de silencieux pour la marque Walker, ils vendent des amortisseurs Monroe, grâce à leur collaboration. Il y a 80 enseignes Tenneco dans le monde et 8 dépôts en France (Laval, Lille, Metz, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Paris...) A l'entrée dans cette usine, on commence par la soudure. Les ouvriers sont régulièrement changés de poste pour éviter les gestes répétitifs ainsi que les maladies professionnelles. Ils veillent aussi sur le moral des ouvriers afin qu'ils ne viennent pas au travail à reculons. D'après un responsable de production, les ouvriers et responsables sont au même niveau, il n'y a pas de supériorité hiérarchique.
J'ai trouvé cette visite intéressante, parce que c'est bien de voir la conception d'un silencieux pour automobile.
J'ai trouvé cette visite intéressante, parce que c'est bien de voir la conception d'un silencieux pour automobile.
Stage en agent d'entretien des espaces verts
Christopher (groupe 4)
J'ai réalisé un stage de 2 semaines à la Mairie d'Arquenay dans les espaces verts. Il y a 2 personnes qui travaillent dans ce service. Pendant ce stage, j ai effectué :
- de la tonte avec une tondeuse et avec un petit tracteur,
- de la mise en place d'un paillage : j'ai remis des copeaux de bois autour des plantes dans les parterres pour donner de l'engrais, garder l'humidité et limiter la pousse des mauvaises herbes,
- de l'arrosage d'un sapin que j'ai planté, des rosiers que j'ai plantés aussi, des graminées, des arbres, ... Je me suis occupé de l'entretien des végétaux en serre : arroser, étêter des géraniums pour qu'ils gagnent en ampleur, surveiller leur état, traiter à l'insecticide,...
- du désherbage thermique,
- de la lasure sur les bancs publics et une table.
Ce stage m'a permis de découvrir le bouturage : prélever un morceau d'une plante pour la multiplier - Ils feront 3 000 boutures au mois de septembre. Je dois y retourner pour voir ça. J'ai pris plein de notes sur la taille et le bouturage qui pourront me servir plus tard.
Ce stage m'a permis de préciser mon choix. Je me suis senti très à l'aise et ai envie de continuer dans cette voie. Je préfère les petites communes car ils sont plus polyvalents.
J'ai réalisé un stage de 2 semaines à la Mairie d'Arquenay dans les espaces verts. Il y a 2 personnes qui travaillent dans ce service. Pendant ce stage, j ai effectué :- de la tonte avec une tondeuse et avec un petit tracteur,
- de la mise en place d'un paillage : j'ai remis des copeaux de bois autour des plantes dans les parterres pour donner de l'engrais, garder l'humidité et limiter la pousse des mauvaises herbes,
- de l'arrosage d'un sapin que j'ai planté, des rosiers que j'ai plantés aussi, des graminées, des arbres, ... Je me suis occupé de l'entretien des végétaux en serre : arroser, étêter des géraniums pour qu'ils gagnent en ampleur, surveiller leur état, traiter à l'insecticide,...
- du désherbage thermique,
- de la lasure sur les bancs publics et une table.
Ce stage m'a permis de découvrir le bouturage : prélever un morceau d'une plante pour la multiplier - Ils feront 3 000 boutures au mois de septembre. Je dois y retourner pour voir ça. J'ai pris plein de notes sur la taille et le bouturage qui pourront me servir plus tard.Ce stage m'a permis de préciser mon choix. Je me suis senti très à l'aise et ai envie de continuer dans cette voie. Je préfère les petites communes car ils sont plus polyvalents.
Visite de Prisma
Prisma - Entrammes (53)
Cette entreprise, créée en 1981, avait pour fonction, au départ, de répondre aux besoins de communication des entreprises avec comme moyen des films et des diaporamas.
Aujourd'hui, on y retrouve trois activités :
-photo
-vidéo
-événementiel
L'équipe est composée de cinq personnes dont un photographe, un monteur de film, un réalisateur, une secrétaire et une personne en alternance en audiovisuel.
Leurs clients sont des professionnels (industries, collectivités locales ...)
Concernant la photo : catalogue et publicité. La publicité représente globalement un gros travail en terme de personnel car elle s'adresse à différents types de personnes et en gros volume. Travail très enrichissant humainement car elle touche tous les domaines.
Il y a deux types de photos :
-simple avec fond blanc
-avec ambiance.
Pour réaliser cette dernière, on compte une journée de travail avec le temps pour aller chercher les décors, celui pour les monter, celui pour les prises de vues ... à raison de 120 euros de l'heure, il faut compter 1 000 euros la photo.
C'est un secteur qui a subi une forte diminution de débouchés avec l'arrivée du numérique. Du coup, les entreprise ont de moins en moins recours à un photographe. Heureusement, leur savoir faire, leurs moyens techniques et leur service ont eu raison d'eux. De plus, les produits sont faits pour être vus donc, si le travail est apprécié, il est facile de remonter jusqu'à son créateur.
Concernant la partie vidéo, il y a deux phases : le tournage et le montage.
Le progrès technique ne cesse d'évoluer. Il faut investir au risque d'être rapidement noyé par la concurrence. L'achat d'équipements doit être rentabilisé à compter de 3 ans à partir de sa date d'achat.
Par exemple, une caméra haute définition coûte 25 000 euros.
Ils ont un studio d'enregistrement. Par exemple, le droit d'édition d'une musique coute 2€17/s. Les albums sont envoyés par thèmes des éditions. Ils travaillent aussi avec des comédiens, des musiciens ...
Une prestation peut coûter entre 10 000 et 15 000 euros.
Les seules activités en relation avec les particuliers sont la location de matériels et la transcription d'informations (par ex : des cassettes vidéo au numérique).
Site internet : Prisma Laval
Cette entreprise, créée en 1981, avait pour fonction, au départ, de répondre aux besoins de communication des entreprises avec comme moyen des films et des diaporamas.
Aujourd'hui, on y retrouve trois activités :
-photo
-vidéo
-événementiel
L'équipe est composée de cinq personnes dont un photographe, un monteur de film, un réalisateur, une secrétaire et une personne en alternance en audiovisuel.
Leurs clients sont des professionnels (industries, collectivités locales ...)
Concernant la photo : catalogue et publicité. La publicité représente globalement un gros travail en terme de personnel car elle s'adresse à différents types de personnes et en gros volume. Travail très enrichissant humainement car elle touche tous les domaines.
Il y a deux types de photos :
-simple avec fond blanc
-avec ambiance.
Pour réaliser cette dernière, on compte une journée de travail avec le temps pour aller chercher les décors, celui pour les monter, celui pour les prises de vues ... à raison de 120 euros de l'heure, il faut compter 1 000 euros la photo.
C'est un secteur qui a subi une forte diminution de débouchés avec l'arrivée du numérique. Du coup, les entreprise ont de moins en moins recours à un photographe. Heureusement, leur savoir faire, leurs moyens techniques et leur service ont eu raison d'eux. De plus, les produits sont faits pour être vus donc, si le travail est apprécié, il est facile de remonter jusqu'à son créateur.
Concernant la partie vidéo, il y a deux phases : le tournage et le montage.
Le progrès technique ne cesse d'évoluer. Il faut investir au risque d'être rapidement noyé par la concurrence. L'achat d'équipements doit être rentabilisé à compter de 3 ans à partir de sa date d'achat.
Par exemple, une caméra haute définition coûte 25 000 euros.
Ils ont un studio d'enregistrement. Par exemple, le droit d'édition d'une musique coute 2€17/s. Les albums sont envoyés par thèmes des éditions. Ils travaillent aussi avec des comédiens, des musiciens ...
Une prestation peut coûter entre 10 000 et 15 000 euros.
Les seules activités en relation avec les particuliers sont la location de matériels et la transcription d'informations (par ex : des cassettes vidéo au numérique).
Site internet : Prisma Laval
Visite de l'entreprise Faral
Monsieur Uno nous a reçu dans son usine d'échange standard. C'est une entreprise familiale qui est née en 1932, son fondateur étant son grand-père.
Quelques grandes dates ;
-années 80 : on passe des moteurs essence aux moteurs diesel. En une année, on passe de 8 000 moteurs essence à 1 000. L'entreprise a su s'adapter au changement sinon elle n'aurait pas résisté.
-années 90 : Les constructeurs et autres démarrent l'activité d'usine échange standard. Mais certains, peu scrupuleux, au lieu de refaire complètement les pièces du moteur, ne refont que l'extérieur, ce qui porte préjudice à l'image de l'entreprise.
-1997 : afin de consolider ses appuis, démarrage de l'activité des culasses.
-2005 : démarrage de l'activité des boites de vitesses.
-2009 : démarrage de l'activité des turbo.
Cette entreprise a comme matière première les moteurs inutilisables, car 80% des pièces du moteurs sont réutilisables après travail dessus.
Il faut savoir que cette entreprise détient 5% des parts du marché d'échange standard. Elle ne travail qu'avec la gamme française et elle est donc concurrente de Renault, Peugeot et Citroën.
L'entreprise est dans un contexte de développement durable car un moteur sorti de leur usine a 80% d'économie par rapport à un moteur de constructeur.
Leur politique : détecter la faiblesse d'un moteur pour apporter une solution derrière.
Objectif : 90% de la vie du moteur d'origine. Par rapport à un moteur neuf, 50% d'économie au niveau du prix et 5 à 10% de moins pour un même service chez le constructeur. Autre point avantageux et mis en avant : le service technique après vente.
Ils sortent 2 500 moteurs par an et 3 500 culasses avec plus de 300 références.
Au niveau des salariés, il y a environ une quarantaine de postes pour une soixantaine de salariés essentiellement formés en mécanique.
Les étapes des produits :
Déjà, les clients sont des grossistes répartis sur tout le territoire français avec comme principale gamme de véhicules les véhicules utilitaires, commerciaux et familiaux, hormis pour le département de la Mayenne où l'entreprise doit sa réussite grâce à la confiance que lui ont accordé les Mayennais. Ainsi, les personnes de notre département peuvent emmener en réparation leur tracteur, voiture, camion ...
-Lavage pour ainsi éliminer les éléments grossiers.
-Démontage des éléments du moteur, tels que : la culasse, l'arbre à canne, les soupapes, pistons, vilebrequin, rondelles, injection, turbo, cylindre ...
-Triage des pièces (20 à 30 % des pièces sont usagées) et validation.
-Calibrage et modification si nécessaire des pièces. Par exemple, pour une culasse, on va la placer dans un circuit d'eau sous-pression afin de trouver des fuites ou encore de vérifier l'étanchéité des joints. Après, on peut refaire la chambre de la culasse, par exemple, tout en respectant les côtes des constructeurs.
-Assemblage des pièces afin de reconstituer un moteur.
-Moteur passé au banc d'essai.
L'entreprise est toujours en évolution afin de s'adapter aux nouvelles technologies. Aussi, avec son service de recherche et développement, cela lui a permis notamment de déposer quelques brevets.
Site internet : Faral Laval
Quelques grandes dates ;
-années 80 : on passe des moteurs essence aux moteurs diesel. En une année, on passe de 8 000 moteurs essence à 1 000. L'entreprise a su s'adapter au changement sinon elle n'aurait pas résisté.
-années 90 : Les constructeurs et autres démarrent l'activité d'usine échange standard. Mais certains, peu scrupuleux, au lieu de refaire complètement les pièces du moteur, ne refont que l'extérieur, ce qui porte préjudice à l'image de l'entreprise.
-1997 : afin de consolider ses appuis, démarrage de l'activité des culasses.
-2005 : démarrage de l'activité des boites de vitesses.
-2009 : démarrage de l'activité des turbo.
Cette entreprise a comme matière première les moteurs inutilisables, car 80% des pièces du moteurs sont réutilisables après travail dessus.
Il faut savoir que cette entreprise détient 5% des parts du marché d'échange standard. Elle ne travail qu'avec la gamme française et elle est donc concurrente de Renault, Peugeot et Citroën.
L'entreprise est dans un contexte de développement durable car un moteur sorti de leur usine a 80% d'économie par rapport à un moteur de constructeur.
Leur politique : détecter la faiblesse d'un moteur pour apporter une solution derrière.
Objectif : 90% de la vie du moteur d'origine. Par rapport à un moteur neuf, 50% d'économie au niveau du prix et 5 à 10% de moins pour un même service chez le constructeur. Autre point avantageux et mis en avant : le service technique après vente.
Ils sortent 2 500 moteurs par an et 3 500 culasses avec plus de 300 références.
Au niveau des salariés, il y a environ une quarantaine de postes pour une soixantaine de salariés essentiellement formés en mécanique.
Les étapes des produits :
Déjà, les clients sont des grossistes répartis sur tout le territoire français avec comme principale gamme de véhicules les véhicules utilitaires, commerciaux et familiaux, hormis pour le département de la Mayenne où l'entreprise doit sa réussite grâce à la confiance que lui ont accordé les Mayennais. Ainsi, les personnes de notre département peuvent emmener en réparation leur tracteur, voiture, camion ...
-Lavage pour ainsi éliminer les éléments grossiers.
-Démontage des éléments du moteur, tels que : la culasse, l'arbre à canne, les soupapes, pistons, vilebrequin, rondelles, injection, turbo, cylindre ...
-Triage des pièces (20 à 30 % des pièces sont usagées) et validation.
-Calibrage et modification si nécessaire des pièces. Par exemple, pour une culasse, on va la placer dans un circuit d'eau sous-pression afin de trouver des fuites ou encore de vérifier l'étanchéité des joints. Après, on peut refaire la chambre de la culasse, par exemple, tout en respectant les côtes des constructeurs.
-Assemblage des pièces afin de reconstituer un moteur.
-Moteur passé au banc d'essai.
L'entreprise est toujours en évolution afin de s'adapter aux nouvelles technologies. Aussi, avec son service de recherche et développement, cela lui a permis notamment de déposer quelques brevets.
Site internet : Faral Laval
Stage en aide à domicile
Julie (Groupe 4)
J'ai fait un stage de 2 semaines à l'ADMR de Grez en Bouère en tant qu'aide à domicile, en mars.
Je suis allée chez les personnes pour faire leur toilette, préparer les repas, faire le ménage, les aider au coucher, les mettre en pyjama, aider à la prise de médicaments, faire le repassage, aller chercher les enfants à l'école ...
C'était un stage très intéressant, j'ai appris beaucoup de choses comme par exemple les bonnes postures à avoir pour lever les personnes, comment plier des chemises pour hommes ...
Ce que j'aime bien aussi c'est le contact avec les personnes, leur remonter le moral, beaucoup les écouter car ils ont peu de visite dans la journée. En effet, pour certains, les seules visites sont les aides à domicile. J'ai bien aimé aussi les nombreux déplacements.
Je souhaite poursuivre dans cette voie et par la suite passer mon diplôme d'auxiliaire de vie.
J'ai fait un stage de 2 semaines à l'ADMR de Grez en Bouère en tant qu'aide à domicile, en mars.
Je suis allée chez les personnes pour faire leur toilette, préparer les repas, faire le ménage, les aider au coucher, les mettre en pyjama, aider à la prise de médicaments, faire le repassage, aller chercher les enfants à l'école ...
C'était un stage très intéressant, j'ai appris beaucoup de choses comme par exemple les bonnes postures à avoir pour lever les personnes, comment plier des chemises pour hommes ...
Ce que j'aime bien aussi c'est le contact avec les personnes, leur remonter le moral, beaucoup les écouter car ils ont peu de visite dans la journée. En effet, pour certains, les seules visites sont les aides à domicile. J'ai bien aimé aussi les nombreux déplacements.
Je souhaite poursuivre dans cette voie et par la suite passer mon diplôme d'auxiliaire de vie.
Inscription à :
Articles (Atom)